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Take me home…

vanessa1

Alors ça y’est, les valises sont quasiment bouclées, je ne compte pas le nombre de chargeurs dans chacune des poches, d’appareils électroniques – la désintox numérique ce sera pour une prochaine fois – de bouquins pesant une tonne (douze mille ordinateurs mais pas une seule liseuse, cherchez l’erreur), de crèmes solaires, etc. Finalement ce qu’on emporte en moins grande quantité, ce sont les fringues (je me comprends hein, BIEN SUR QUE JE NE SUIS PAS ARRIVÉE A NE PRENDRE QUE DEUX PARÉOS ET TROIS MAILLOTS DE BAIN). Histoire de ne pas changer une équipe qui gagne, nous restons suspendus au bon vouloir du personnel au sol d’Air France qui nous remet ça une fois encore un 2 août, parce que sinon ça ne serait pas vraiment un départ en vacances. En lire plus »

Une maison peut en cacher une autre

rose

Non je n’ai pas encore disparu sous ma pile de bouquins, à l’ombre de mon parasol sur cette unique plage de Corse quasi déserte. Mais je plaide coupable, peu de temps à consacrer au blog ces derniers jours. Ceci étant dit, je n’enfilais pas les perles, j’achetais une maison, pardon.

Oui oui, je crois que cette fois-ci, on y est. Et cela n’est probablement pas complètement sans rapport avec la nouvelle maladie que j’ai (après avoir désespérément tenté de prouver à ma généraliste que j’étais cardiaque, je mise tout sur l’ulcère pour expliquer ces crampes d’estomac quotidiennes qui me plient en deux) (ma généraliste me voue un sentiment qui ressemble à de la haine).

Donc, on a trouvé notre maison et si je préfère ne pas vous donner tous les détails géographiques, histoire de préserver un – tout – petit peu ma vie privée et surtout celle de ceux qui vivent avec moi, je vais tout de même vous raconter un peu cette rocambolesque histoire. Parce que sans vouloir me la jouer Kalil Ghibran, il y a une leçon à tirer de tout ça. Que l’on pourrait résumer ainsi: Un saule peut cacher une mare. En lire plus »

Miscellanées de juillet

tamtam

Comme le dit l’adage, moins on en fait… moins on en fait. Ceci étant dit, c’est encore trop à mon goût, je ne saurais exprimer à quel point j’aspire à n’avoir comme unique préoccupation de savoir si ce midi on mange des tomates ou des tomates.

Si j’ai enfin réussi à écluser les plus gros de mes dossiers – je vous invite à vous jeter sur le magazine l’Etudiant à la rentrée, dans lequel je vous ai pondu une thèse sur les MOOC (pardon my glam), les MOOC étant donc en gros et pour faire vite, des cours en ligne gratuits mis en place par les plus grandes universités dans le monde mais aussi parfois par des quidam, je pense ainsi à celui élaboré par des doux dingues fans d’Harry Potter, qui propose ni plus ni moins de revivre sa scolarité à Poudlard, ou comment apprendre l’anglais sans se demander ad nauseam where is Brian.

Mais je m’égare, je voulais vous faire part de deux trois infos qui méritent à mon sens d’être signalées.

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Mignonneries à moins de 20 euros

mood

J’aime bien trainer mes guêtres sur les sites de fringues en fin de soldes, il ne reste pas forcément grand chose mais ce pas grand chose est à petit prix. Et comme je suis une femme de défis, je me suis fixé celui de vous proposer une sélection de mignonneries à moins de 20 euros. Encore un peu et je m’inscris aux reines du shopping (Heu, Cassandra, je suis désolée, mais tes boucles d’oreilles pendantes, elles sont bien trop pendantes, pour moi c’est un fashioneuh faux pas). Mouchée Cassandra.

Allez, bonne journée…

#1 – Top à pois Vero Moda, 14,50 euros #2 Sac Molly Bracken, 15 euros  #3 Robe Vila, dentelle dans le dos, 17,50 euros, #4 – Robe drapée American Apparel, 15 euros #5 Combishort Vero Moda, 19,95 euros #6 Top Oversize, 17,50 euros #7 Pochette Monshowroom, 11,50 euros #8 Sac de sport American Apparel, 12,50 euros #9 Foulard Pieces, 14,50 euros #10 Top ajouré, 14,50 euros

You know nothing Jon Snow

lou

Alors un immense merci pour votre participation au concours de jeudi. Avec un peu de retard, voici les noms des gagnantes, tirées cette fois-ci par la chérie, de passage à Paris avant de repartir à Lyon – on adore ce mois de juillet passé dans les trains, nécessitant une logistique dont seules les mères de famille nombreuse peuvent percevoir la complexité. (en vrai c’est quand même surtout ma mère qui fait tout le boulot).

Les deux gagnantes sont:

Commentaire 300, FLO44, pour Lila.

Commentaire 111, Céline, pour Romane.

Merci de m’envoyer un mail avec vos coordonnées et le récap de votre commande.

Merci aussi à la boutique « Les griottes » pour ce chouette concours, je suis à chaque fois vraiment super contente à l’idée de vous faire plaisir, c’est seulement très frustrant de ne pouvoir faire que deux heureuses…

Voilà, à part ça donc, de retour à Paris après deux jours lyonnais dont un sous des trombes d’eau. Comme on s’ennuyait un peu j’imagine, on a rien trouvé de mieux la semaine dernière avec le churros que de reprendre nos visites de maisons. Et dimanche, on devait avoir l’esprit joueur, on a fait une offre. Excités comme des gamins, qu’on était. Pour trembler aussitôt le mail envoyé à l’idée que l’offre en question soit acceptée. C’est à dire qu’on n’est pas tout à fait sûrs en fait. Et en même temps, quand on a su qu’un autre couple était sur l’affaire, on était comme des fous, un peu comme quand dans la file du maraicher, la dame derrière moi dit un peu haut qu’elle va prendre les petits pois qui restent. Subitement j’ai l’impression que si je ne les prends pas ça va me manquer.

On est d’accord que même si les petits pois ne sont pas donnés, on n’est pas tout à fait sur le même registre de prix.

Bref, on attend désormais la réponse du propriétaire. On va se dire que quelle qu’elle soit, c’est le karma.

Quoi qu’il en soit, décider d’acheter une maison dix jours avant de partir en vacances, moi je dis, rien que pour ça… SOUS VOS APPLAUDISSEMENTS.

Bonne journée, je vous tiens au courant, je sens que vous trépignez.

Ah et sinon, je n’ai pas pu beaucoup écrire ici parce qu’on s’est enfilés 4 saisons de Game of Thrones en deux semaines avec le churros. Dès qu’il m’agace, je le tance d’un « You know nothing Jon Snow », qui le calme bien comme il faut.

Allez, c’est pas tout ça mais Winter is coming.

Edit: photo prise par Rose, très Game of Throne non ?

 

T’as ton Tann’s ? (concours inside)

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Je me souviens parfaitement de mon premier et unique cartable Tann’s. A l’époque c’était le Eastpack d’aujourd’hui et en avoir un au collège vous plaçait direct dans le rang des cools. Bien évidemment, la fenêtre de tir était étroite, après il fallait faire caca sur ton Tann’s et te pavaner avec un sac US. Mais en 6è – 5è, c’était la clé de ton intégration sociale. Mes parents n’avaient pas super les moyens, on était quatre enfants et pas trop le genre de la maison de s’afficher avec des marques, mais pour mon entrée en 6ème, je l’avais obtenu. Bordeaux, en daim, jantes en cuir et environ 10kg au compteur sans les livres et les cahiers. Peu importait, je l’aimais, je peux encore sentir son odeur. En lire plus »

Parenthèse charentaise

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Pour ce long week-end cocardier, nous sommes partis découvrir la nouvelle maison de nos amis Z&F en Charente maritime. Etrangement, alors que le churros est rochelais, je ne m’étais jamais rendu compte à quel point la campagne aux alentours était belle. Il faut dire, m’a expliqué mon époux, que là nous étions en Saintonge. Rien à voir avec l’Aunis ma petite fille. (on n’est pas rendus avec la réforme territoriale). Je ne sais à vrai dire pas trop ce qu’il en est de l’Aunis, mais la Saintonge et ses environs, ça déboite. Champs de tournesols, petits villages fleuris de roses trémières, maisons blanches charentaises, demeures ancestrales, arbres fruitiers en pagailles et du maïs à perte de vue, ondulant au rythme du vent. En lire plus »

Les dix choses qui me font craquer chez un homme

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Vous me pardonnerez mais c’est l’été – parait-il – et le peu de neurones qui me restent je les garde pour terminer mes articles très sérieux (12 000 signes sur les MOOC) (ça vous impressionne, évidemment). Ceci donc pour justifier ces quelques lignes d’une légèreté sans nom, mais comme je le disais à mon quelqu’un – oui, pour l’instant je continue – « j’aimerais tant être plus légère » (je parlais au sens propre aussi).

Hier, je regardais le Grand Journal et Doria Tillier m’a fait pleurer pour sa dernière chronique. Je pense que si j’étais un homme ou si j’étais attirée par les filles, je craquerais pour Doria Tillier. Mais vraiment. Bref, je regardais le Grand Journal et à un moment il y a eu le jingle, où l’on voit tous les animateurs de l’émission esquisser quelques pas de danse. Et je me suis fait pour la énième fois la réflexion que rien ne m’émoustille (je ne trouve pas d’autre terme, il y a bien « excite » mais à 9h40 je ne sais pas, ça fait chaudasse, les anglais ont ce « turn me on » qui est parfait) plus qu’un homme qui danse. Bien c’est mieux, mais même à contretemps je prends. Je veux dire, même Apathie pourrait m’émouvoir avec un pas de deux (je déconne). Du coup, la psycho des listes qui est en moi s’est dit qu’elle pourrait pondre un billet sur les dix choses qui la font craquer chez un homme. (je suis totalement 3.0 comme blogueuse)  (pendant que certaines font du timelapse, moi j’invente Topito). Oh wait.

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Up and Down de Juillet

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A l’heure où je vous écris, la chérie fait du rafting sur un torrent déchainé, dans une eau à 8°, sachant qu’il y a deux jours, il a neigé dans la station où elle réside. La semaine d’avant, c’était acrobranche, qu’elle a eu le goût de me narrer APRÈS. « J’étais si fatiguée à la fin que sur le pont d’échelle à 25 mètres, j’ai décroché. ». Moi, luttant contre mon envie de hurler au défibrillateur, « Dis-donc, heureusement qu’on vous avait bien attachés ». Elle, tranquille, « Heureusement surtout que JE m’étais bien attachée, c’est nous qui le faisons, pour nous responsabiliser ».

Note à moi même: Ne jamais envoyer son frère dans cette colo.

C’est peu dire que je compte les jours pour que cette petite plaisanterie prenne fin. Je sais bien qu’élever ses enfants c’est les aider à s’envoler, mais jusque là je ne prenais pas ça au sens littéral. L’année prochaine on reprend les bonnes vieilles habitudes, tout le monde chez Manou et Padom et pas d’histoires (à ce jour, je n’ai aucune nouvelle de mon fils parti pour trois semaines avec les éclaireurs en Bretagne. Je me raccroche comme une damnée à l’idée que s’il se passait quelque chose je serais au courant). En lire plus »