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Avec mes sabots…

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Quand j’ai cherché un titre pour ce billet je me suis dit que vous alliez me voir venir d’assez loin (me voir venir, gros sabots, hu hu hu) (désolée). Bref j’ai décidé de faire simple. Avec Violette we did it again, dans notre cour carrée préférée, pas la plus appropriée lorsqu’on porte des sabots, mais comme je les ai choisis pas trop hauts, ça a été. Ces chaussures sont des Sweedish Hasbeen, marque qui m’a toujours intriguée par son drôle de nom et sur laquelle je louchais depuis un moment. Mais ceux que j’avais essayés pointaient à 7 ou 8 centimètres et ne me donnaient pas une démarche particulièrement élégante (comme si j’étais plâtrée, un peu). Mais ces sandales/sabots au plateau de 5 cm sont parfaites (d’ailleurs elles portent le nom de « Cross Strap Debutant », à mon avis ce n’est pas un hasard. Le cuir est un peu dur au début mais en une journée je m’y suis habituée. Et j’adore leur look un peu désuet, qui plus est totalement raccord avec mes petons ronds à tendance carrée. En lire plus »

Par ici la parapharmacie…

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Billet sponsorisé

Je ne sais pas vous mais personnellement j’achète la grande majorité de mes produits de beauté en pharmacie. Premièrement parce que c’est quand même moins cher qu’en parfumerie et deuxièmement parce que ma peau étant ce qu’elle est (une diva), elle ne supporte que quelques rares crèmes, estampillées hypoallergéniques, sans parfum et non comédogènes. A chaque fois que j’essaie sur la durée des choses un peu plus fofolles, c’est la catastrophe, du coup je reviens du côté de chez Avène, Aderma etc.

Et puis au delà de ça, c’est là aussi que je trouve ma crème solaire anti-lucite, mes baumes à lèvres carmex, du gel d’aloe vera pour les coups de soleil, etc. C’est simple, même lorsque j’y vais pour de l’aspirine, je ressors avec une crème pour les mains, à minima. En lire plus »

The A word

Programme Name: The A Word - TX: n/a - Episode: n/a (No. n/a) - Picture Shows: Joe Hughes (MAX VENTO) - (C) Fifty Fathoms - Photographer: Rory Mulvey

Sur les conseils de l’une d’entre vous et après avoir également lu une très bonne critique sur l’excellent blog de Pierre Serisier (ma référence pour les séries), j’ai donc boulotté les six épisodes de la première saison de « The A Word », créée par la BBC. Un véritable petit bijou scénaristique, joué à la perfection par des acteurs d’une rare subtilité. Dès les premières images, on est avec Joe, petit bonhomme de cinq ans, le casque audio vissé sur les oreilles, qui marche en chantant d’un pas décidé sur une route déserte de Lake District, dans le comté de Cumbria, en Angleterre. Lorsque la camionnette bleue conduite par les ouvriers polonais de la brasserie familiale s’arrête face à lui, le petit Joe monte sans broncher, tout en continuant de chanter à tue tête les meilleurs hits de pop anglaise. En lire plus »

Des nouvelles de Jiji

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Je sens que Jiji vous manque. Si si. (SI). Et bien sachez qu’il se porte comme un charme. Je crois qu’à force il a fini par lâcher l’affaire du sous-sol et a peut-être enfin compris que les graviers de la cave n’étaient pas là pour qu’il s’en serve de litière géante. En revanche, il existe peut-être des chats de jardin qui se soulagent toujours au même endroit, si possible loin des chaises longues par exemple. ça n’est pas le cas de Jiji qui chie absolument partout. Sachant que le jardin fait à peine 300 m2 ça vous donne une idée de nos occupations du samedi (quand je dis « nos », je m’entends). En lire plus »

J’aime #105

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Ce week-end, j’ai assisté au mariage d’une de mes plus vieilles amies – « vieille » au sens qu’on se connait depuis des années, hein, elle a bien évidemment 29 ans elle aussi puisqu’on s’est rencontrées au lycée.

Elle et moi, on s’est toujours suivies de près, à Grenoble, à Paris, à l’école de journalisme. Elle toujours un peu devant. Lorsque je me suis mariée, c’est dans sa voiture que je suis allée à la mairie. Et samedi, c’était à son tour. Elle a dit ce oui massif, joyeux et solaire, à son bel amoureux. Et il y avait tant d’évidence dans cette union, tant de légèreté, que bien sûr j’en ai un peu pleuré. Si cette amie incarne bien une certitude, c’est que la vie n’est pas linéaire et qu’elle a plus d’imagination que nous (mon mantra à moi)… Il est parfois bon de s’en rappeler, d’autant plus une coupe de champagne à la main, non ?

Voilà, à part ça, j’aime… En lire plus »

Col officier

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L’autre jour, on s’est retrouvées avec Violette, dans notre spot préféré pour shooter des photos de mannequinat. La cour carrée du Louvre. On y était à l’heure du déjeuner et du coup c’était moins tranquille que d’habitude mais il y a dans cet endroit une lumière complètement folle, même lorsqu’il fait moche (ce qui est le cas depuis environ douze ans à Paris, REMBOURSEZ LE PRINTEMPS). Je pense que c’est la pierre, comme si elle avait absorbé les particules de soleil au fil des siècles. Ce petit interlude « histoire de l’art » passé, je ne devais à l’origine que prendre les photos, je suis définitivement plus à l’aise derrière l’objectif que devant, mais Violette m’a promis dé mé soublimer. Et ma foi, sublime, non, mais j’aime bien ces clichés, ils me donnent l’occasion de vanter ce petit blouson qui vient de chez Sezane et qui me réconcilie avec les vestes en jean qui ne me flattent pas le croupion. Celle-ci est un peu plus longue et le col officier lui donne une allure de teddy (j’ai fait un MBA en stylisme). Surtout, je tiens de ma mère le fait de ne pas supporter ce qui m’emprisonne le cou et là je suis servie, quoi. En lire plus »

Les sept piliers de l’échec

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Il y a quelque temps, j’ai connu un revers professionnel. Je ne vais pas développer sur le fond, pour des raisons de confidentialité, mais je me suis dit que je parlais souvent ici de ce qui marchait, moins de ce qui parfois ne fonctionnait pas. C’est même un sujet que j’ai abordé avec mon quelqu’un, cette application que j’ai à ne pas montrer mes failles (pleurer devant un tiers est pour moi de l’ordre de l’impossible, il n’y a qu’avec mon mari que je me laisse parfois aller) (ceci n’inclue pas mes chouineries devant n’importe quelle comédie romantique, je parle là de la chiale où l’on mouche, renifle, sanglote, grimace etc). Du coup, quand ça va pas, je me terre dans un coin et je suis aux abonnés absents. Je ne sais pas particulièrement d’où ça vient, mais c’est ainsi, je suis de celles qui ont à coeur de ne pas montrer leurs bleus à l’âme. Par fierté sûrement, par peur aussi sans doute qu’à entrouvrir la porte, les vannes cèdent.

Mais donc, là, j’ai chu. Et ça m’a fait mal. Et après avoir essayé de lutter contre le chagrin, je me suis dit que ça suffisait. Que peut-être parfois il fallait accepter que ça te laboure le ventre. Et curieusement, ça m’a aidée. Enfin, disons que ça m’a permis de traverser plus rapidement la turbulence. Je ne sais pas si ça peut aider, mais voilà les différentes phases par lesquelles je suis passée… En lire plus »

Potager 2.0

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Quand on a emménagé dans notre maison, on s’est très vite dit qu’on ferait un potager dans notre jardin. Typique des parisiens sevrés de nature depuis des années, on se voyait avec nos tomates qui auraient un vrai goût de tomates, des framboises ramassées par des petites mains d’enfant et éventuellement des pommes de terre, parce que les rates, c’est quand même délicieux. Rien de trop ambitieux en somme.

Qu’on pensait.

Déjà, pas mal de mois ont passé avant qu’on s’y mette, d’une part en raison de notre flemme monumentale, d’une autre parce que contrairement à ce que pensent les parisiens sevrés de nature depuis dix ans, un potager, ça ne s’improvise pas. La nature a ses exigences et parmi celles-ci, celle de ne pas être ensemencée n’importe quand. Qu’à cela ne tienne, il y a quelques semaines le churros a retourné la terre pour l’aérer sur les conseils de notre ami J., ancien horticulteur et de mon père, qui cultive les fameuses rates avec brio (monoculture ou presque d’ailleurs parce que la vérité je crois c’est que le potager, ça le fait chier). En lire plus »

Five little things #13

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Après un week-end de trois jours des plus paresseux, me revoilà, en pleine forme (on y croit). Histoire de varier les plaisirs, au lieu d’un « J’aime », on va faire un « Five little things » (=> feignasse). Pardon hein, je crois que je suis dans une phase moyennement prolifique. Sans vouloir me dédouaner, je l’explique par la nécessité de trouver des idées pour mes différents projets en cours. Si ça se trouve, cette chose étrange qu’est l’inspiration n’est pas un puit sans fond ? Imaginez que ce soit comme les ovules, qu’on en ait un capital bien défini à la naissance. Je ne serais pas dans la merde. J’ai l’air d’en plaisanter, mais confidence pour confidence, c’est l’une de mes plus grandes angoisses (après les turbulences, les champignons dans les oreilles et les extrasystoles): et si un jour j’étais à sec, vide de mots ?

En attendant, cinq petites choses, donc… En lire plus »

Maisons du Monde, mon fournisseur de rêve

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Depuis que j’habite ma maison, j’avoue fréquenter avec plus d’assiduité les sites et magasins de déco que ceux de fringues. Je n’achète finalement pas grand chose et le moins que l’on puisse dire c’est que chez nous ça n’est pas chargé. Mais je rêvasse devant des salons de jardin, des canapés scandinaves, des clubs qui ne seraient pas défoncés, des affiches imprimées de mantras ou autres boutis à poser négligemment sur mon lit. On a les passe temps que l’on peut. En lire plus »