Catégorie : Je vous raconte ma vie

Appel aux ondes positives

Cierges

En janvier, pour les voeux, je vous avais demandé de m'envoyer de bonnes ondes pour un projet à venir dont je ne pouvais rien dire.

Le moins qu'on puisse dire c'est que vos ondes, c'est du titane, parce que l'affaire suit son cours. Disons qu'une première étape a été franchie.

Aujourd'hui, à 16h30, il y en aura une autre, d'étape, et pas des moindres. Alors je vous demande de me renvoyer vos pensées positives, parce que je n'en mène pas large et que l'enjeu est de taille.

Voilà, pas possible de vous dire plus, ce n'est pas du teasing, je crèverais de tout vous raconter, mais parfois il faut savoir la boucler, je l'ai appris à mes dépens plus d'une fois et mine de crayon, ça rentre un peu dans ma petite tête. J'espère vivement qu'on pourra un jour fêter ça ici, c'est tout.

Ceci était donc un billet parfaitement inutile en soi, ou du moins totalement égoïste, un appel non pas au dons mais aux ondes, quoi…

Thanks !

Edit: Si je m'écoutais je demanderais à ma mamie d'aller faire brûler un cierge à Fourvière. En même temps, il faut peut-être garder ça pour des urgences plus vitales. N'empêche.

Edit2: C'est 16h30 en fait, pas 16h50 comme mis précédemment. La fille qui joue sa vie sur un faux horaire. Malheureuse.

2009 se barre, on la retiendra pas

Rosecouettes

La semaine a été rude, Helmut a poursuivi sur sa lancée en nous pondant une bronchite des familles, de celles qui font dégobiller un enfant sur les coups de 3h du mat après deux plombes de quintes de toux qu'à un moment tu penses que les bronches vont lui sortir par les narines.

Bref, qui dit nuits pourries dit matins chagrins, voire préparation des papiers pour le divorce, parce que bon je te ferais dire que j'ai mesuré, elle a PLUS vomi sur MA chemise de nuit que sur TON t-shirt, ce qui signifie que là, je passe mon tour pour vider le lave vaisselle. Et j'en profite pour te dire que je ne t'ai toujours pas pardonné la réflexion sur mon coté "hyper perso" que tu m'as faite en octobre 2006.

Tu m'auras compris la netterie, on n'a pas fait que rigoler ces derniers jours et c'est seulement un sens aigu de la pudeur qui m'a retenue de venir fondre en larmes toutes les dix minutes sur ces pages. Quoi qu'il en soit, là où y'a de la bonne nouvelle, c'est que ce soir c'est vacances. De noël en plus et il se trouve que j'aime bien ça moi les christmas holidays. Ne partant hélas point sous les tropiques ni même en Maurienne ou autre contrée montagneuse, je ne serai pas très loin de mon PC, donc ça ne serait pas totalement inenvisageable que je passe ici de temps à autre. Même que je pourrais répondre aux commentaires, un truc de fou.

En attendant, je souhaite tout de même à tous ceux qui, eux, partent aux seychelles ou ailleurs – hyènes – de bonnes vacances et une bonne fin d'année.

Edit: Parmi les grandes nouveautés du blog on remarquera donc un magnifique système d'archivage mensuel, là, à droite, qui permet désormais de naviguer dans les méandres de mes archives jusqu'en janvier 2006. Comment qu'on a de la chance, ce serait Noël que ça ne m'étonnerait pas.

Edit2: Yes, le titre n'a rien à voir avec la choucroute, mais c'est vrai que 2009 ne restera pas dans mes annales. Enfin, si, parce que c'était un peu la première année d'Helmut, mais en même temps non, parce que… parce que c'était la première année d'Helmut.

Edit3: La photo c'est pour les couettes, ça m'éclate. Prise avec mon portable, donc pas top, I know…

Mimosa mon amour

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Allez, c'est vendredi, donc en vrac et pas dans l'ordre…

– J'ai acheté un pantalon sarrouel chez Monoprix, il est bleu un peu satiné, je me la pète à mort, même s'il ne fait pas autant sarrouel sur moi que sur ma collègue. Il fait aussi légèrement "catalogue Daxon", sur moi. Pas sur ma collègue.

– Ma collègue a 23 ans, ceci explique sans doute cela.

– J'ai aussi acheté un gilet chez Monop', qui perd ses poils au point que toute la maison en est imprégnée, on pourrait penser que je vis avec une trentaine de chats et la personne que j'interviewais alors que je le portais a toutes les chances d'avoir un décollement de rétine en raison des fibres qui voletaient autour de ses yeux. Je ne veux pas dire mais la qualité baisse à Monop', pas la première fois que ça m'arrive, sans compter les boutons qui se barrent des chemises ou les manteaux qui pluchent au bout de trois jours.

– J'ai vu au ciné il y a quelques jours "La famille Volberg", joli petit ovni, mention spéciale à Valérie Benguigui qui est à mon sens une des meilleures actrices françaises du moment.

– J'écoute en boucle Benjamin Biolay, le morceau "ton héritage" me transforme en passoire.

– J'ai été extrêmement touchée par vos commentaires hier, je suis d'accord avec Pomme, ce qui semble le plus fou c'est que les adultes laissent tout ça se passer sans broncher. Je me demande même si finalement, souvent, le souffre douleur n'est pas aussi très profitable à certains enseignants, ça permet en quelque sorte de détourner les sarcasmes des plus durs vers un autre que le prof. D'une manière générale, les victimes sont souvent soupçonnées d'être plus ou moins responsables, après tout, cette histoire de fumée sans feu, hein…

– Les jeunes de l'UMP s'éclatent avec Gilbert Montagné, qui, j'ai l'impression, conduit une voiture dans le clip désormais cultissime de la droite décomplexée. Comme quoi, avec Nico, tout est vraiment possible.

– Nicolas Sarkozy recycle à nouveau une vieille blague, selon laquelle cette fois-ci il se propose d'être le DRH du PS, se vantant d'avoir déjà recruté toute une batterie de vieilles chèvres socialistes. Qu'on lui laisse, d'ailleurs. En attendant, je propose à notre président d'utiliser ses talents de recruteurs pour les millions de chômeurs qui croupissent en attendant que ça passe. S'il pouvait, en plus, arrêter cinq minutes d'être chef de parti plutôt que chef d'Etat, ça nous ferait du bien.

– J'ai acheté du mimosa, et le mimosa, c'est le soleil de l'hiver, j'aime bien le mimosa.

Si ce n’est lui c’est peut-être son frère…

Pas beaucoup de temps, pas d'énergie surtout à vrai dire, la grippe ou sa cousine a décidé de squatter ma maisonnée et va de l'un à l'autre sans pour l'instant s'arrêter à la case Helmut, thank's god, mais nous pourrit tout de même les nuits. Bref, juste un petit clin d'oeil aujourd'hui, parce que ça m'a fait rire.

Et c'est bon de rire parfois.

Photo

Vos commentaires et deux trois autres choses

Corée

Bon, la netterie internationale.

Il me semble qu'il faut que je remette quelques petites choses au point. Depuis que je suis arrivée sur cette nouvelle plateforme, je reçois assez régulièrement des mails paniqués de lecteurs/ices vieux de la vieille en plus, sur le mode:

"Tu supprimes tous mes commentaires, qu'est-ce que j'ai fait de mal, tu ne veux plus de moi ici, c'est ça ? T'as pris le melon ou quoi ?".

Alors ici je vous le dis: que nenni.

On n'est pas en Corée du Nord, bordel.

Donc que ce soit clair. Non je ne caviarde pas des commentaires sans en informer les auteurs ou leur en expliquer la raison. En presque quatre ans de blog, j'ai dû sucrer cinq coms (sans compter les spams de la nina stressée du slip qui arrose parfois la blogosphère de ses délires paranoïaques).

Mais alors qu'est-ce qui ce que se passe donc ?

Il se passe mes lapins que vous n'avez pas vu que sur Typepad, ma plateforme pour ceux qui suivent, tous les 50 coms, il faut cliquer sur "afficher plus de commentaires". Quand je dis "tous les cinquante", c'est donc au 51ème, mais aussi au 101ème ou au 151ème.

Oui, aussi au 201ème.

Je sais, ça va sans dire mais encore mieux en le disant, nan ?

Bref, les commentaires que vous pensiez supprimés sont en réalité juste un peu cachés.

Après, parfois, il y a les trous noir de l'internetterie et ça, je ne me l'explique pas, parfois ça rate, c'est ballot mais on n'y peut rien.

Mais à moins d'avoir affaire à un psychopathe catholique intégriste malfaisant, en général je ne bazarde pas les mots que vous m'avez fait le plaisir de laisser.

Même s'il ne vont pas dans mon sens. Même s'ils m'agacent. Même si parfois, ils me blessent.

En revanche.

En revaaaaaaaaaaaaaanche.

Bref, en revanche.

Quand certains commentaires sont écrits sous le coup de la colère et comprennent des menaces, insultes ou autres joyeusetés racistes, sexistes ou homophobes, même dirigés contre des personnes que moi même je n'apprécie pas, je ne peux pas les laisser. D'abord parce que je suis responsable au sens juridique du terme de ce qui est en ligne sur ce blog. Ensuite parce que je ne veux pas que ces pages servent de défouloir à peu de frais.

Je regrette à ce titre d'avoir laissé passer quelques saillies, plus par flemme que par désir véritable de ne pas intervenir.

A compter de ce jour, je serai plus intraitable, parce que ces derniers temps, parfois, ça a dérapé sévère.

J'espère que vous comprenez, je n'aime pas trop la ramener sur le style "ici c'est chez oim et je vous emmerde". Sauf que dans les faits, si une des cibles d'insultes proférées par l'un ou l'une d'entre vous décidait de porter plainte, c'est contre moi qu'il le ferait. Dont acte.

Dernière chose. Je trouve géniaux les échanges qu'il y a ici. Je m'en réjouis à chaque polémique, à chaque billet qui suscite des commentaires. Et vraiment, je vous en remercie, c'est vous qui faites vivre ces pages et je dis ça sans démagogie aucune. J'ai la chance de pouvoir lancer des pavés dans la mare ou simplement me faire du bien en exposant certains de mes cas de conscience sans que ça dégénère en guerre de tranchée. Alors merci. Et aussi, je suis bien désolée de ne pas pouvoir plus souvent être là dans les comms, saluer les nouveaux et nouvelles et y aller de mon commentaire. Mais à cause du travail, c'est compliqué, j'espère que vous le comprenez.

Bref, c'est cool, gros hug, calin tout ça tout ça.

Somewhere over the rainbow

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Hier soir, après une journée de plomb au ciel gris, typiques de la fin du mois d'août et annonciatrices d'orages fracassants, la pluie est tombée, mais finalement très timidement. De la terrasse, alors que je buvais mon panaché glacé, je l'ai vu, là, à portée de main. L'arc en ciel. Comme j'aime par dessus tout voir des signes partout, je me suis dit qu'il était là pour me rassurer, me dire qu'après l'été la rentrée ne serait pas forcément si difficile.

Alors j'ai respiré un grand coup et j'ai ravalé cette petite angoisse sourde au fond de mon ventre depuis que le nombre de jours qui me séparent du retour peut se traduire par un après-demain trop proche…

Edit: Le titre m'évoque la chanson bien sûr, mais la version reggae, celle de l'enterrement de Mark Green dans cet épisode d'urgences, l'instant de télé le plus lacrymal qu'il m'ait été donné de voir un jour. Si quelqu'un connait le chanteur de cette version, je prends…

Mirena, le stérilet au poil

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Je n'ai plus de poils.

Attends, c'en est à un point où mon esthéticienne va finir par me claquer une dépression nerveuse. "Non mais y'a pas de repousse, madame, c'est dingue, en plus ils partent tous seuls. Mais c'est que vous allez me tuer le métier à force, vous", qu'elle s'est lamentée samedi dernier.

Je ne peux hélas pas la contredire, je suis frappée d'alopétie du poil.

Tout ça sans même avoir testé la lumière pulsée ou autre technique d'assassinat du bulbe.

Je ne vois qu'une seule explication. Mirena.

C'est mon stérilet.

A ce stade du billet, on dit au-revoir au trois garçons qui nous suivaient et qui viennent de s'enfuir en grimaçant qu'ils ont envie de vomir. En même temps les cocos, qui c'est qui se tape toute la responsabilité de la contraception ? C'est nous, donc on s'abstient de tout commentaire ou on vous colle deux trois moutards dans la vue direct.

Bref, disais-je, mon stérilet diffuseur d'hormones a tué mes poils.

Il a également éradiqué mes règles.

La tuile.

Non, je lol, t'es folle toi, l'absence de règles ET la chute des poils sont les mamelles d'une féminité apaisée.

Bon, qu'on ne s'y trompe – d'Eustache – ce n'est pas totalement la panacée non plus. Parce que niveau poids, par contre, on n'est pas loin d'aller porter plainte. En même temps, que serait la lune sans le soleil, l'été sans l'hiver, les congés payés sans le boulot, hé-ho, hé-ho ? Rien que des instants sans saveur. Donc les kilos qui s'accrochent, je me dis que ça me fait d'autant plus apprécier ma chauvitude des aisselles.

D'autant que la cerise sur l'ovaire, c'est que je n'ai plus de boutons non plus.

Si.

En gros, j'ai la peau de pendant ma grossesse. Pfuiiit les comédons. Ils se sont barrés avec ma touffe, à croire. C'est simple, mes joues sont aussi lisses que le postérieur d'un nouveau né. Ou presque. Ne rêvons pas, si Mirena tirait la peau y'aurait la queue chez les gynécos. M'enfin le fait est que je ne bourgeonne plus. Je sais, à 38 ans il n'y a pas franchement de quoi exulter mais on n'est pas sans savoir qu'entre dame nature et moi y'a du contentieux.

Bref, au cas où vous vous rongeriez les sangs depuis six mois que je vous ai annoncé que j'avais opté pour le Mirena, je ne puis que vous rassurer, c'est un bilan quasi sans faute.

Je sens que y'en a qui s'interrogent: des kilos, plus de règles, la peau lisse, système pileux chamboulé: elle serait pas en train de nous faire une grossesse à l'insu de son plein gré la dame ?

Ecoute je ne pense pas. En même temps, faut avouer que ça peut être un petit moins du bazar, cette histoire de ne pas pouvoir vérifier tous les mois que t'es pas squattée par un polichinelle.

Mais franchement, ça ne me vient pas trop à l'esprit, je crois en la science, moi.

Voilà, ceci n'était pas un billet sponsorisé par Mirena ou son labo, tout simplement un témoignage 100% vécu sur un sujet qui nous touche toutes qu'on le veuille ou non…

Edit: quand on avait parlé de ça y'a six mois, il y avait une lectrice enceinte justement sous mirena. Je ne sais pas si elle est toujours dans le coin mais j'aimerais bien avoir de ses nouvelles, je me souviens qu'elle avait quelques inquiétudes.

Welcome

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Voilà, j'ai décidé de sortir de
mabulle – par contre pour tout ce qui est jeux de mot à la con j'ai
re-signé pour dix ans – et d'emménager dans un palace.

Si
j'ai décidé de changer de crèmerie et de squatter chez Typepad, c'est
en premier lieu parce que malgré tous les efforts et la bonne volonté
de Vincent, la plateforme de Mabulle n'était pas assez robuste pour
accueillir mes millions de visiteurs.

Ok,
peut-être un peu moins qu'un million. Il n'empêche qu'on ne va pas
jouer les bégueules, vous êtes assez nombreux à me faire le plaisir de
venir me lire. Et lors de soirées un peu arrosées type suivi live de la
Nouvelle star, vous pouvez vous vanter d'avoir fait exploser la bulle.

En
plus, comme je suis une blogueuse prêteuse mais pas prévoyante, je ne
sauvegarde pas grand chose. Du coup, à chaque panne, c'était tranxène à
tous les étages.

Bref,
il se trouve qu'un jour, j'ai reçu un mail vraiment gentil du boss de
typepad, qui m'expliquait que sa femme me lisait et qu'elle lui avait
ni plus ni moins balancé – après un plantage dont Mabulle a le secret –
qu'il n'était vraiment pas très sympa de ne m'avoir jamais proposé un
hébergement à la hauteur de mon talent.

Bon,
ce ne sont pas tout à fait ses mots mais l'esprit y était, et voilà
qu'on m'a accueillie comme une princesse, limite une influente de la
blogo. Je ne te cache pas que ça m'a donné une impression de puissance
assez troublante et que depuis je ne me sens plus pisser.

Attends, si ça se trouve un jour j'aurai la chance d'être chroniquée je sais pas moi, par… Mry ? Naaaaaaaaan, quand même pas.

Voilà,
je ne sais pas si la demoiselle me lit toujours mais si c'est le cas,
merci parce que je crois que je vais être bien ici. Et vous aussi.

Le décor, les peintures, les rangements, c'est AnneSo
qui s'y est collée. C'est dingue parce qu'AnneSo ne me connait somme
toute pas très bien. Mais elle a su immédiatement ce qui me
ressemblerait. Et l'idée de cette bannière avec les jambes de mon ibère
anonyme et adorée, je ne l'aurais jamais eue. En plus c'est de saison.

Et quand ça ne le sera plus, on sera d'autant plus contents de la voir
la mer. Enfin pour ce qui me concerne. Je ne voudrais pas m'avancer
pour vous, hein.

Il y a encore
quelques finitions qui manquent, du genre un bla-bla sur moi, une revue
de presse, etc. ça va venir, c'est l'intérêt de faire un grand
chambardement pendant les vacances, ça laisse le temps de s'installer
tout doucement.

En tous
cas, je dis un grand merci à Florent qui a supporté mes questions les
plus cons, à Vincent de Mabulle qui a rendu cette migration possible
avec une grande élégance et AnneSo, donc, mon Andrée Putmann à moi.

J'espère
que vous vous sentirez bien ici, parce que c'était le but principal,
vous proposer un salon plus vaste mais toujours aussi cosy.

Que ceux qui m'aiment me suivent…

Edit: Sur
les dix dernières notes, y'a pas vos comms, j'ai été prise d'une grosse
flemme. Mais sur tout le reste, grâce à Florent mon nouveau héros –
dieu ce que femme varie – tout y est. C'est pas beautifoule, ça ?N

Edit2
:
Si vous adoptez ce nouveau chez-vous-chez-moi, changez vite vos flux et
favoris, parce que je ne laisserai pas Mabulle en ligne trop longtemps.
Et je vous serai drôlement reconnaissante de faire tourner l'info…
Merci !

Et toi ton biniou, il clignote ?

Chenonceau1

Ma copine Chloé m'a envoyé deux trois clichés qui mettent à mal
mes efforts démesurés pour avoir l'air d'une fille vraiment bien sous
tous rapports. En tous cas pour la fachinonista c'est mort. Parce que
Birk + chaussettes, c'est le genre d'attentat esthétique qui pourrait
probablement faire claquer Karl d'apoplexie. M'est avis qu'il se
suiciderait au shampoing sec plutôt que de supporter une telle vision
d'horreur.


Moi
même je dois bien l'avouer je n'assume pas à mort.
Mais voilà, la Loire c'est sympa sauf que les soirées sont fraiches,
micheline. Et qu'à force de ne pas vouloir trop se charger, on finit
par n'emporter dans sa valise que le strict minimum. Et quand je dis
strict, c'est strict. Genre qu'une paire de birks. A part ça, merci
pour le délicat rappel floral du clic-clac. Ah ça on était dans les
roses jusqu'au cou.Par contre, je ne veux dénoncer personne mais
certains étaient plus chargés que d'autres lors de ce périple. Il va
sans dire que je suis loin de cautionner tout ce qui est montré
ci-dessous. La drogue c'est caca, tout le monde le sait. En plus que
c'est mal.

Débauche

Après, tu te retrouves à photographier des vers luisant en pleine
nuit. D'ailleurs, oublions un instant ce spectacle désolant pour nous
concentrer sur notre ami lumineux. Autrement appelée luciole, ce vers
d'ailleurs n'en est pas un mais une sorte de coléoptère vraiment bien
laid. Et quand tu sais que ce qui luit, c'est ni plus moins son cul, ça
casse un peu le mythe.

D'autant que pour faire bonne mesure c'est bien sûr la femelle qui brille du biniou, pour attirer les mâles.

Quand je dis que mère nature est une truie.

Jamais c'est les mecs qui se ridiculisent, hein.

N'empêche que la luciole, elle s'est illuminée devant le zguigou de not' Julien. Et ça, le gars, il ne s'en est pas remis.

Allez, hop, je vous laisse en compagnie du bestiau, âmes sensibles s'abstenir…

Vers