
Il y a des week-ends plus reposants que d’autres, celui que je viens de passer était l’un d’entre eux. C’est simple, on n’a RIEN fait. Samedi, alors que je bouquinais sur mon vieux club tout en m’arrêtant de temps à autre pour regarder les rayons de soleil danser sur le tapis, je me suis dit que c’était tout ce que je voulais, là, tout de suite. J’ai souvent en tête cette phrase, « désire ce que tu possèdes ». Un mantra un peu tarte à la crème, prononcé sans doute par je ne sais quel sage. Je me fais fréquemment la réflexion que c’est d’une grande connerie, ces quelques mots. Parce que par définition, le désir se porte sur ce qui nous échappe ou ce qu’on a peur de perdre. Mais là, c’était ça. Je désirais vraiment ce que je possédais. Après j’ai fait une tarte aux pommes et j’ai regardé l’envoyé spécial consacré à Bygmalion. Ce qui a mis fin à ma sérénité tant ce reportage, excellent et que je vous conseille de regarder en replay tant qu’il est encore dispo, est hallucinant et édifiant sur la gabegie de la campagne de Sarkozy en 2012.
Voilà, à part ça, j’aime… En lire plus »