
J’avais dit fin de semaine, nous y voilà. A la fin de la fin, oui, je sais.
Nous sommes rentrés mercredi et j’avoue que ces deux petits jours de presque vacances buissonnières – revenus mais encore un peu aux abonnés absents – ont une saveur particulière. On (re)prend nos marques dans la maison, on débroussaille un peu, on fait des machines – des tonnes et des tonnes de machines – on se délecte d’avoir à nouveau accès au dieu des internet (dans la voiture, le machin, pour consoler sa soeur qui se lamentait de quitter le soleil et la mer: « pense à cette grosse bouffée de wifi que tu vas te prendre »).
J’avoue, j’ai également depuis 24h tenté de booker une maison en Corse pour Août prochain et mis une option virtuelle sur un hôtel de dingue dans une île grecque. Je vous rassure, rien d’exceptionnel, chaque année lorsque la rentrée se profile, je me raccroche aux branches d’un prochain départ, histoire de me donner une raison de recommencer, encore et encore. Et puis les jours passant, je réalise que le quotidien vaut aussi son pesant de cacahuètes et que la vraie vie se joue surtout là. Mais il me faut ce sas de décompression, j’imagine.
Il faut dire qu’en plus j’ai fini ce séjour en beauté. Après un dernier resto avec nos copains D et M, j’ai trouvé le moyen de me flanquer par terre (à l’heure où j’écris ce post je n’ai toujours pas compris comment, je n’avais bu qu’un mojito, ce qui, compte tenu de mon rythme estival, est insignifiant). A l’état de mon genou gauche et de mon pied droit, on pourrait penser que je me suis pris un 38 tonnes. Si ça se trouve, sans le savoir, je marche à 90 km/h. Je pense que mes jambes, constellées de bleus et d’égratignures reprendront un aspect normal aux alentours de la Toussaint. ça valait bien le coup de braver ma lucite pour avoir un semblant de bronzage en septembre. Surtout, sur l’échelle du ridicule, je me donne un bon 12 sur 10. Je veux dire, j’ai chu d’une hauteur d’environ un centimètre, espace séparant la chaussée du sable. Et ils ont du s’y mettre à trois pour me relever, en sang et complètement sonnée.
Ce qui place ce moment merveilleux au top des instants de solitude de ces vacances. Talonné par un autre, que je ne peux pas passer sous silence, parce que, qu’est-ce que serait ce blog sans ça, hein ? (rien).
Lorsque nous étions à Oléron, nos amis R et N et nous mêmes, avons cédé aux suppliques des enfants qui voulaient absolument aller au parc aquatique local. Profitant d’un samedi particulièrement gris, où la plage n’était pas une option, nous voilà partis pour ce qui est pour moi l’antichambre de l’enfer (j’ai peur dans l’attraction Peter Pan à Disney, et aussi de m’endormir dans ma baignoire et de m’y noyer, ça vous donne une idée).
Vu le prix des entrées (pas moyen d’avoir un pass visiteur), j’ai finalement pris le parti d’essayer un ou deux toboggans. Et eu la brillante idée de commencer par une espèce d’installation démoniaque qui pourtant ne payait pas de mine. A savoir qu’après avoir grimpé en haut du bazar, flanquée d’une énorme bouée, il fallait s’asseoir sur ladite bouée pour dévaler une sorte de grand huit débouchant dans une piscine (rien qu’écrire cette phrase m’a épuisée). Le churros passe devant moi et s’installe hyper facilement sur sa bouée double, avec Rose. La chérie, elle aussi, enfourche sa monture avec autant de grâce d’une gazelle. Vient ensuite mon tour.
Et là, le drame.
Incapable de me stabiliser sur cette saleté de pneumatique. J’ai d’abord essayé de mettre mes jambes au milieu, mais impossible de glisser ainsi. J’ai tenté par la tête, mais les épaules ne passaient pas. Sachant qu’à chaque fois que j’essayais de grimper dessus, elle m’échappait comme une savonnette dans le bain. Et pendant ce temps, la queue qui se formait derrière moi et la vague réminiscence de ce jour où, au collège, incapable de monter à la corde, j’avais vu tous les gamins de ma classe se marrer et m’invectiver, impatients que leur tour vienne enfin.
Sans mon copain R, qui a fini par tant bien que mal me hisser sur ma monture gonflable et poussée un grand coup dans le toboggan, j’y serais encore probablement à l’heure actuelle. J’ai ensuite fait toute la descente en hurlant comme un veau qu’on égorge et fini par atterrir dans le bassin d’arrivée, dans une monumentale gerbe d’eau, sous les applaudissements nourris d’une assistance bidonnée. Tout ça avec un sein resté en haut du toboggan et un autre me devançant d’une bonne longueur (très bon choix de maillot de bain).
Alors que je racontais ma mésaventure à la chérie, cette dernière s’est retournée vers R., pour lui demander si tout de même je n’exagérais pas un peu (j’ai cette étrange réputation d’en rajouter). Le regard mi-contrit mi-hilare de mon ami a suffi. Pour une fois, non, je n’exagérais pas. Mais pas du tout.
Bref, je suis allée à Aqualand.
Et je n’ai plus trop l’énergie pour vous faire ce fameux billet récap sur Oléron, promis ça viendra.
Bonne journée.
La chute d’une hauteur de 1 cm je connais bien, ça fait très mal …
Toute ma compassion !
Et belle journée !
Merci je ris et ris !!
À chaque fois, j’ai un peu honte de rire de tes malheurs…mais je l’avoue, j’ai ri !
Bon retour
Allez ça va devenir un bon souvenir !!!… C est vrai que dans ces manèges aquatiques..il faut un super maillot de bain..entre les hauts qui se font la malle et les bas qui se transforment en string ..c est l aventure.. En tout cas tu m as fait bien rire.. Allez.. Vous avez retrouvé votre maison du bonheur..Une nouvelle rentrée …bon courage !!!
une chute bien hard du haut d’1 cm la veille du retour ? Ça ressemble vachement, comme qui dirait, à quelqu’un qui n’a pas très envie de rentrer…
Et oui la reconnexion au quotidien, même embelli d’une nouvelle maison et d’un wifi sans faille, demande un poil de temps… Courage !
Quand je lis les phrases d’intro de tes moments de solitude j’ai toujours sur la face ce grand sourire, bouche fermée parce que j’essaie quand même de le contenir par décence, tu sais ce sourire de quand quelqu’un s’apprête à te raconter une de ses mésaventures gênantes et que tu essaies poliment de cacher ta jubilation à la perspective d’une histoire super drôle mais qui demande quand même un peu de la compassion? Je compatis, mais tu m’as bien fait rigoler.
Merci pour ton auto dérision, je pouffe, sans mauvaise arrière pensée, tant tes descriptions sont drôlissimes…
Je compatis pour ta chute…j’ai dérapé au mois de novembre dernier sur un p**** de trottoir mouillé à Paris (j’étais en boots plates et j’étais a jeun) et mauvaise réception = je me suis cassée le poignet droit…pas de plâtre mais port d’une fuc*** attelle pendant de très très (trop) longs mois…
Donc souvent les chutes qui paraissent insignifiantes sont celles qui font le plus mal …
Bon courage pour la reprise …reprise du boulot lundi, …et si j »ai travaillé 3 ou 4 h par jour c’est le grand max…reprise en douceur, on a dit…sans culpabilité (ou presque) (je me soigne).
Des bises
Promis ce n’est pas à cause de la chute que je ris, mais le coup de la bouée-savonnette vraiment je me marre
Deux jours de décompression avant de se remettre dans le bain c’est le minimum. On est rentré il y a quelques semaines de Bali et ce voyage me parait déjà à des années lumières. Profite donc bien de chaque minuscule moment – au soleil, dans ton jardin – qui pourrait te donner l’illusion d’être encore en vacances parce que bientôt c’est la RENTREE (pardon).
Courage, la chute d’un cm ça me connait : entorse en descendant d’un trottoir, ça se vaut.
L’important c’est d’en rigoler après
Coucou Caro et bon retour à Paris.
Je suis comme toi (pour les vacances) : vers la fin de chaques vacances, j’ai besoin de commencer à rêver aux suivantes. Et donc aujourd’hui, je rêve à trois destinations différentes pour l’été prochain.
Ahahaha qu’est ce que j’ai ri ^^ Comme toi je suis une spécialiste de la chute inopinée ! Toujours au moment le plus improbable, toujours quand je suis stressée ou que j’ai bu une seule bière (mais apparemment elle était de trop).
L’année dernière je suis tombée de tout mon long en allant passer LE concours de ma vie, le dernier jour. J’aurais pu me casser les deux poignets et c’était fini pour moi (dieu merci j’ai été sauvée par mes livres qui ont amorti la chute). Le pire c’est que j’ai trébuché sur un micro-trottoir de même pas 2cm de haut…
Récemment j’ai réussi a m’écrouler dans la rue à cause d’un petit creux dans le trottoir…
Autant te dire que pour moi, le Vieux Lyon est un vrai parcours du combattant. Je traverse ce quartier avec une concentration maximale et une appréhension certaine…
Courage pour la reprise
Oh peu importe la hauteur… ma pauvre tu as du morfler. Dans le même style je me suis brulée la cuisse sur 10 cm² avec l’eau des petits pois carottes en voulant servir mon fils. Ca cloque, ça gonfle, avec l’eau de la mer ça supure, dégueu…
Belle journée à toi
« pense à cette grosse bouffée de wifi que tu vas te prendre »: ahah,je la garde pour la ressortir!
Sinon ta descente de toboggan m’a fait rire (ce qui est rare en lisant les expériences des autres sur les blogs,je ne suis pas très bon public),le coup du sein m’a achevée! c’est comme si j’y étais!
Toutes ces mésaventures, il était temps de rentrer
Je me sens moins seul moi aussi je hais ces grosses bouées d à quand.
J’ai ri. Et pour cause:
Aqualand été 2002. Je descends sur le ventre, tête la 1ère un toboggan. Arrivée prévue dans 10 cm d’eau, histoire de freiner la descente.
Je suis la dernière. En bas, mes potes m’attendent. Je descends, j’arrive en bas, je me relève en disant « woaw, c’est trop génial ». Je vois leurs regards à tous virer vers le sud, et pour cause, mon soutien gorge triangle avait migré au niveau de mon nombril.
Et là, gênée, je remets tout ça en place et le surveillant du toboggan me regarde d’un air mi moqueur mi condescendant et me dit « on se bat tous pour faire la surveillance de celui là ».
Life is a bitch.
13 ans plus tard, lesdits potes en rient encore. Je songe à les bannir.
Merci pour le fou rire !! Je t’imagine bien sur ta bouée !
Quant à la chute, je pense que c’était pour essayer de ne pas rentrer !
Pour me remettre de mes vacances qui me manquent…….la 1ère semaine de reprise, j’allais tous les matins sur le site où on logeait pour revoir les lieux. Il ne faut pas le faire ! Tu retardes la réalité ! Faut s’y remettre !
Bon retour ! Tu sais, ça fait plaisir de te retrouver !
Carole
A toute bonne chose, il faut une bonne chute…
J’imagine la scène,et je suis tordue de rire,ma pauvre Caroline!bon courage pour la rentrée
Magnifique ! J’ai le film dans ma tête de toi et de ta bouée, comme si je l’avais filmée. Bravo pour la puissance d’évocation, et merci de ravaler ta dignité pour nous faire rire. Un grand moment !
Par contre, à propos de ta chute, c’est beaucoup moins drôle, surtout pour ton genou. Et la jolie petite robe que tu gardais pour la rentrée et ton moral, c’est pour plus tard.
Mais tu as ta maison, un bain de wifi, tout cet environnement à redécouvrir, c’est bien, non ?
J’ai ri mais j’ai ri
Non pas de la chute (je compatis grave)
Mais de cette aventure Aqualandesque
Merci pour ce partage :))
Mon dieu, j’espère que tu as récupéré ton sein depuis le temps !
Je me marre comme une petit folle ingrate, merci ! (Tout en sachant que cela aurait très bien pu m’arriver…)
Je te souhaite une très belle rentrée !
Oh oui, on rêve aux prochaines vacances. Cela me fait du bien que tu l’écrives. J’ai trouvé une autre compensation pour me consoler: je lis tes archives pour tes précédents récits de vacances. Les photos sont belles, les textes sont drôles et profonds. Tu regardes autour de toi plutôt que d’être exclusivement centrée sur ton nombril. Merci!
Et soudain, j’ai ri.
J’ai ri. Merci et chapeau pour cette descente !!!
La dernière fois que je suis tombée, j’ai pleuré….pas de douleur, non, mais de honte….j’étais pourtant seule mais ça m’a vexé! Tomber, à mon âge….bon, d’accord, j’avais un peu mal aussi.
C’est marrant moi aussi à peine rentrée je suis sur Airbnb pour booker les vacances de l’année prochaine. Je suis rassurée de savoir que je ne suis pas la seule, j’avais peur qu’on me prenne pour une folle.
Je compatis pour tes blessures, parfois les petites chutes peuvent engendrer des blessures dingues. Cet été j’ai glissé au bord de la piscine en tongs, pas de chute, rien, juste en essayant de ne pas tomber je me suis retournée le gros orteil, résultat, cassé.
J’espère que tu te remettras vite.
Aaaah je ris et je compatis! J’ai le même palmarès à l’issue de mes vacances! Une belle grosse gamelle à vélo en Hollande, à cause du vent! Oui, parfaitement, une rafale peut vous envoyer au tapis, le long de la mer. Disons que la première rafale m’a fait tellement peur que j’ai décidé de m’arrêter et de marcher à côté du vélo, que j’ai ralenti pour ce faire, et que la suivante m’a cueillie et envoyée dans les hautes herbes … et les orties évidemment. Et j’étais en short, sans ça ce ne serait pas drôle. De la terre et de l’herbe dans les cheveux, sur l’épaule, sur le short et les chaussures, la journée commençait bien et j’étais très à l’aise deux heures plus tard au restaurant, sans avoir pu me changer (excursion d’un jour en ferry+vélo sur une île). Mon mari a suivi son schéma réactif habituel : il a eu peur en me voyant tomber, puis il m’a engueulée parce qu’il avait eu peur, et enfin il s’est foutu de moi quand j’ai dit que c’était à cause du vent! Je suis coutumière du fait, chute en Corse, chute en Crète… heureusement jamais de fracture ni de blessure grave!
Et j’ai adoré le coup de la « bouffée de wifi », tous drogués, nous sommes!
Hou c’que c’est bon de retrouver les éclats de rire sur tes billets ! Voilà qui m’aide un peu à passer ce cap du retour « à la mine » (c’était il y a quatre jours déjà) alors que je me morfonds à l’idée de devoir attendre douze mois (douze !) pour repartir en grandes vacances !!! Je suis donc au bureau mais une partie de mon cerveau est resté en Toscane. Tout le monde peut aisément comprendre pourquoi, sans que je fasse un dessin, hein. Comme je trouve hyper privilégié d’avoir pu y passer deux semaines, je ne me plains pas d’être retournée travailler (même si mon chéri, lui, gratte une semaine de vacances en plus, en mode buissonnière à la maison). Mais je ne suis pas très loin de taper du pied comme une enfant capricieuse pour y retourner, en Toscane.
Profitez bien de cette parenthèse at home…
Ah oui, j’oubliais, je DEVAIS encore finir en te rassurant sur ton arrivée en bas du toboggan aquatique avec un sein à l’air, voire deux, car cela aurait pu être bien pire, en fait… Accroche-toi : à l’arrivée en bas du toboggan, dans le petit bassin de réception, mon pied droit est entré dans le maillot d’un jeune homme qui n’avait pas dégagé de là assez vite. A l’avant. Hem. Moment de gêne prolongé, parce qu’avec un pied coincé, ce n’est pas bien commode de se remettre debout dignement et de repartir la tête haute. J’en ai encore le rouge aux joues en le racontant, c’est arrivé il y a plus de vingt ans!
Oh comme je compatis ! Perso c’est le coin de mon lit qui est venu percuter mon tibia … (Oui je maintiens que c’est le lit qui n’a percutée et non l’inverse !!) Résultat un joli bleu de 5cm sur 4cm en plein milieu du bronzage Arghhhh !!! Mais bon au moins cette fois je ne suis pas tombée dans les pommes !! Ça change ! Je me rappelle d’une fois ou en rangeant ma chambre de ma fille je me suis légèrement twiste le genou … Beau malaise vagal sous les yeux de ma petite chérie qui devait avoir dans les 2 ans … Moralité : demander à son papa de ranger la chambre des enfants ! Bonne reprise en tout cas. Moi c’est fait depuis lundi mais « tout doux » quand même ! Muriel
Ah, enfin quelqu’un comme moi. Je ne sais pas me deplacer dans un environnement qui ne m’est pas familier. Donc, en vacances, je suis déjà tombée 2 ou 3 fois, en descendant d’un bus ou dans un magasin où je n’avais pas vu la marche. J’ai des bleus aux mollets, à cause des petites tables et je me suis déjà cassé un orteil. La derniere fois, j’ai glissé en entrant dans la baignoire, une jambe dedans, une jambe dehors. Je te dis pas la couleur de mes jambes après ce double salto.
Sinon, bien sûr, j’évite tous les jeux, parc attraction et autres. La parade maintenant, je dis – c’est plus de mon âge !
Mais tu devras attendre au moins 1O ans pour cet argument.
Et comme toi, j amuse la galerie.
oh punaise, mais comme j’imagine bien ces scènes, je suis tellement capable de faire ça moi aussi….j’en pleure de rire c’est malin….ma pauvre!!! Gros bisous de soutien et de bon rétablissement
Hahahahah franchement j’ai bien ri… mais vraiment aux éclats… alala on se ressemble sur pas mal de choses
J’ai ri dès que j’ai lu le titre … J’ai attendu d’être vraiment tranquille pour savourer ce billet ! Quelles cascades ! Moi depuis 20 ans, je dis que je ne sais pas nager afin d’éviter tout délire aquatique … Mes enfants me regardent avec peine alors qu’ils barbotent comme des fers à repasser
Et personne n’a pensé à filmer , parce que j’ai bien vu le déroulement de l’action, c’était juste pour vérifier avec mon imagination ! oui, suis méchante mais je te souhaite un bon rétablissement pour la mini chute !
Lu dans la salle d’attente du dentiste (comme je crains et déteste ça ! ) j’ai ri… merci !
Caro is back, et en pleine forme !!!
Mention spéciale à cette phrase culte « Si ça se trouve, sans le savoir, je marche à 90 km/h », je suis fan !
Et pour ce qui est des réminiscences de l’adolescence, ma minute psy : J’ai aussi des flashbacks comme ça parfois, dans des moments où je me sens hyper mal à l’aise, gênée, godiche, et j’ai l’impression de redevenir l’ado de 15 ans que j’étais, avec tous ses complexes et son impression d’être la pire des empotées et invisible.
ça me fait mal à chaque fois, d’autant plus que je n’avais pas eu l’impression de souffrir vraiment de ça à l’adolescence. Mais j’aime beaucoup plus être celle que je suis devenue…
Je me souviens juste de ne pas vouloir le prendre ce toboggan….. Et apres un lavement de 30 litres de flotte ( je precise ou? ), mon maillot 2 pieces, avec le haut autour du cou, le bas en mode echancré que j ai cru pouvoir postuler pour la plus grande raie des fesses du monde et les fous rire de mes enfants dans le bassin qd je suis arrivee comme une fleche molle dans un grand sploutch, je me suis dis plus jamais……
J ai evacué de l eau par une voie naturel pendant des heures….. Glamour.
Bon retour dans le quotidien!!!
oh merci merci pour ce grand éclat de rire, grâce à toi je retrouve le moral, quel don merveilleux tu as, de nous faire rire
Oh moi aussi j’ai peur de m’endormir dans le bain ! Je me sens moins seule. Mais qu’est ce que j’aime y lire.
alala! Quel bonheur de te lire!! Je savoure chacun de tes billets depuis que j’ai découvert ton blog il y a quelques mois. Je te kiffe trop Caro comme disent les djeune’s!
Même sans être haut perché on tombe toujours au moins de sa hauteur !! et ça peut faire très mal ! La preuve !!
C’est dommage pour le bronzage ! Moi je me suis fait dévorée les jambes par des moustiques gros boutons que j’ai gratté bien sûr (impossible de résister !) et mes jambes colorées ne sont pas belles à voir ! Pour l’année prochaine les petites robes pour aller bosser !! Bises La biche
J adore les répliques de ton machin !…
]
[Aussi parce qu elle me font penser à mon frère en fait
Pardon, mais j’ai ri. Mais genre fort et de manière un peu hystérique, je l’avoue.
et sinon, je dis un grand OUI pour la maison sur l’île grecque (mais je ne suis pas tellement impartiale !)
Amy
http://Www.foodetcaetera.com
Merci pour cette petite séance de rire à tes dépends, je n’aime pas rire des malheurs des autres, mais la bouée m’a achevée et j’avais bien besoin de ça à cet instant précis! J
‘aimerais avoir ce sens de la dérision qui te permet de nous raconter avec brio et tellement d’humour ces petites mésaventures du quotidien! love sur toi!
Que d’émotion!! Personnellement je ne me suis encore jamais lancée sur ces toboggans géants… avec l’eau ça doit être trèèèès glissant… ouille!
J’ai beaucoup ri. C’était pas prévu. J’apprécie l’effet surprise. Un break avant d’affronter les tensions…… (et contrariétés)
Tu viens de révolutionner la physique. Tu as introduit le concept de désintrication mamellaire là où nos chercheurs ne dépassent pas le cas des photons. Belle prouesse
Tu fais ta rentrée en beauté dis-donc ! tu racontes si bien qu’on a le film devant les yeux, merci merci !
Surtout, merci de nous faire rire avec tes mésaventures que tu pourrais très bien garder pour toi ! Beau partage !!!
La séquence bouée m’a fait pleurer de rire, d’autant plus lâchement qu’il faudrait me mettre un pistolet sur la tempe pour monter sur un truc pareil, donc en plus j’admire votre… bravitude.
Depuis votre article sur les 5 rites tibétains, je les fais tous les matins, moi qui suis anti-gym au possible, je n’en reviens pas moi-même! C’est la première fois que je trouve facile de coordonner les mouvements et la respiration, et ça fait indiscutablement travailler des muscles que j’ignorais avoir. Il me semble que ça fait effectivement maigrir… Peut-être que chez certain(e)s, ça active ou ouvre des chakras qui ferment l’appétit???
Je compatis……la seule fois que je suis allée à Aqualand , je me suis cassée une côte….. Sur le toboggan 1 ère niveau ( fréquenté par les 5/10ans)
Bon retour !!!
La seule fois OÙ je suis allée !!! Bon, heureusement dans 3 jours, je retourne bosser, et je renouerai alors avec le français :))))
C’est courageux de nous raconter de tels déboires !!! Moi je crois que je n’oserais pas :).
Cela m’a fait plaisir de comprendre qui était qui. 
Bravo pour l’article dans Psychologies, en fait, j’ai lu l’article, et je n’avais pas fait le rapport entre la Caroline de l’article et toi
Mais qu’est ce j’ai ri!!
Merci Caro!
Cool, elle est de retour…
Trop bon, ton passage à Aqualand ! J’en pleure de rire… Merci pour ce moment
Par contre, pour tes plaies :-/ Bon courage !
Et là, j’ai tout revécu. Pas plus tard qu’en juillet dernier, la bouée est arrivée AVANT moi, puis ont jailli mes seins (oui, les deux) puis ce qu’il restait de moi et de ma dignité. Bref I KNOW.
Sincèrement, toutes mes condoléances pour ta dignité !
Je me suis bien fait renverser par une voiture arrêtée, moi, alors pourquoi pas la lourde chute d’un cm.
Et bon, je compatis, hein, mais je ris, aussi !
Bonne rentrée…
je me reconnais vaguement avec mes tendinites à chaque cheville et mes ligaments fatigués. Le nombre de chutes… je les compte plus
Aïe, les chutes, je compatis ! Sachant qu’il y a 10 ans, j’ai réussi à me casser la cheville (triple fracture, 2 opérations, 2 plaques, 18 vis, 11 jours d’hosto, 4 mois de béquilles) en pleine ville, en glissant sur une mini plaque de glace (mon talon a heurté la tranche du trottoir et… crac !)
Merci, merci pour ces magnifiques images mentales (le coup des seins m’a tuée :)))