Pour la première fois depuis le mois de semptembre je crois, je n’ai pas de papier à rendre cette semaine, ni celle d’après. Quand j’ai envoyé mon dernier article vendredi, j’ai éprouvé un soulagement pas ressenti depuis des lustres, cette légereté de l’avant week-end, qui est très certainement l’une des choses – la seule même, je crois – qui me manque finalement le plus depuis que j’ai quitté mon job il y a deux ans.
« Je ne suis même pas angoissée », j’ai dit au churros, avec la plus grande sincérité du monde.
Deux heures après je me visualisais à la soupe populaire.
J’ai énormément progressé.
Et hier, alors que je m’étais prévu une journée de gastéropode remplie de séries à la con, de sieste en étoile de mer et de patisserie (mon hobbie), j’ai tourné en rond comme une âme en peine dès 10h45, cherchant désespérément deux ou trois petites choses à FAIRE. (je ne parle pas de tâches ménagères, c’eut été le signe d’une grave dépression par contre). Je vous rassure, j’ai trouvé, j’étais un poil à la bourre pour quelques contributions et puis il y a ces scénarios, qui ne représentent même pas vraiment du travail et que je me suis habituée à écrire le dimanche après-midi mais qui m’ont au fnal bien occupée en ce lundi. Mais le fait est, donc, que je passe mon temps à me plaindre d’en avoir trop, mais qu’en réalité, sans boulot je ne suis pas grand chose… En lire plus »